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Agathe

De Wispelaere

Artiste au sein du collectif

LA GROSSE PLATEFORME

http://lagrosseplateforme.com/ est un collectif d’artistes du spectacle vivant. Née en 2017 du regroupement des trois compagnies Les Occiputs, La Faim du Soir Tard et La Ville en Feu, elle rassemble aujourd’hui 18 artistes comédiens, danseurs, administrateurs, scénographes, chanteurs et pédagogues, qui s’associent sur différentes créations pluridisciplinaires.

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The Neutrino Passoire      Danse/Théâtre
Association BERDAHI
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MUES                          
Théâtre/Chant

Gabrielle est une femme plutôt seule. Elle décide d’organiser une soirée pour rencontrer tous ces gens qu’elle croise sans les connaître. C’est maintenant. Ils sont là. Une vague d’étrangeté règne sur les discussions animées. Le collectif La Faim du Soir Tard vous invite dans un espace pour le non-sens. Vous voguerez entre les lumières chatoyantes de la fête et l’extérieur mystérieux des marécages, entre les chants polyphoniques et les solitudes silencieuses. Alors, peut-être, vous entendrez nos histoires. Les histoires singulières de ceux qui doivent changer, ceux qui vont abandonner leur vieille peau pour accéder au matin de leur existence.

Le collectif :
La Faim du soir Tard est un collectif de comédiens qui ne peuvent pas s’empêcher de chanter. Leur univers s’écrit sur le plateau au fil des improvisations. Avec leur monde et leur sensibilité propres les interprètes brodent des relations que la dramaturge reprise et agence. De cette expérience nait un texte écrit à sept mains. Les artistes du collectif se sont formés dans les conservatoires de la ville de Paris et l’ENSATT de Lyon. Le travail de groupe et l’interdisciplinarité sont les clefs de voûte de ce rassemblement de jeunes créateurs.

Sur scène trois danseuses : une raconte l’histoire avec la voix, les deux autres avec le mouvement.

Le neutrino naît au soleil et commence son voyage dans l’espace. Traversant toute matière, il oscille sans cesse entre trois états, trois « saveurs ». Il arrive ainsi jusqu’ à la Terre et nous-mêmes les humains. Représentant la matière et plus particulièrement les corps humains comme des passoires, constamment traversés par des neutrinos, le spectacle questionne les limites que nous créons avec le monde extérieur. Est-ce que cette limite est notre peau ? Les neutrinos sont le prétexte pour remettre en question la notion des frontières - de toutes sortes.

Un discours politique xénophobe actuel qui, au contraire, dresse des murs et délimite la circulation humaine vient clôturer la performance en ironie. Les danseuses essaient en vain de suivre l’argumentation discriminatoire, elles-mêmes constamment traversées par les neutrinos projetés en vidéo sur leur propre corps. La fin du spectacle prend ainsi une tournure inattendue, mais liée à ce que les neutrinos prouvent en permanence par leur voyage ; que les frontières sont une fabrication humaine.

MUES teaser

MUES teaser

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LE SACRE 
Danse/ Chant/ Art de rue
CHERCHER LA FEMME     
Danse/Théâtre

Chercher la Femme, c’est une façon délicate de «déplier» la notion de féminité par plusieurs bouts, sans trop en dire avec des mots, tout en se plongeant dans la complexité, la violence parfois, d’un tel sujet. C’est une rencontre entre quatre personnages, trois femmes et un homme, avec le public d’un soir. Danse théâtre et chant s’y mêlent, traversant l’humour et la poésie pour aller creuser profond.

Les Occiputs livrent ici leur première création collective. Ils cherchent «La» femme, sans vraiment avoir envie de la trouver, tentant de savoir ce qu’il y a de si fascinant, de comprendre ce qui les dégoûte, rire du stéréotype, crier, lancer leurs corps contre la raideur ambiante, danser vite, fort, à peine.

Les Occiputs est un collectif de création de danse théâtre. Juliet Doucet, Agathe De Wispelaere, Louise Buleon Kayser et Thomas Bleton se sont rassemblés autour d’une envie de parler de ce qui les entoure. Partant de thèmes de société, ils questionnent les sensations physiques, les affects et les réflexions que ces thématiques soulèvent. Tout quatre venus d’une formation théâtrale et d’une approche somatique de la danse, leur création se construit entre humour et gravité dans une grande complicité avec le public.

ENTRE CHIENS ET LOUPS
Théâtre physique

Comment les êtres se transforment tout en restant eux-mêmes ?

La question se pose par le jeu dans ce spectacle. La fiction nous donne à voir un changement tant chez les personnages que chez les acteurs qui les interprètent.

De la même façon, le public vient au théâtre pour s‘imaginer et se transformer au fil de la fiction.

Le spectacle a pour structure la suite des sept devenirs que Gilles Deleuze et Félix Guattari développent dans leur ouvrage Mille plateaux (devenir-intense, devenir-femme, devenir-enfant, devenir-animal, devenir-végétal, devenir-moléculaire, devenir-imperceptible).  Cela donne lieu à sept tableaux aux histoires indépendantes, tantôt ordinaires, tantôt extraordinaires.

Le travail de création est essentiellement physique oscillant entre théâtre gestuel et danse. Le texte est ramené à sa plus stricte nécessité.

Sur un ton burlesque sont explorés à travers ces histoires, différents chemins que prend la vie pour rentrer en résistance à la pétrification du monde. 

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Texte et mise en scène Lucas Hérault

ENTRE CHIEN ET LOUP

ENTRE CHIEN ET LOUP

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Le Sacre du collectif la Ville en Feu est une réécriture du Sacre du Printemps d’Igor Stravinski dansé et chanté à cappella.
C’est le printemps d’une jeunesse en pleine révolte, qui questionne l’identité de l’individu dans le groupe et la place de ce groupe dans la communauté et l’espace public.
Fruit du travail de treize artistes, ce projet est destiné à investir tout type d’espaces, du plateau à la rue.

La Ville en Feu est un collectif d’artistes ayant suivi des formations en art dramatique, en chant et en danse dans les conservatoires municipaux de la ville de Paris. Leur rencontre se fait dans le cours de mouvement proposé par Nadia Vadori-Gauthier.
En septembre 2015, à l’initiative de Jean Hostache et Garance Silve, le collectif entame un laboratoire de recherche chorégraphique et vocale autour du Sacre du Printemps d'Igor Stravinsky. En juin 2016, le projet est sélectionné pour le concours Danse Élargie organisé par le Théâtre de la Ville, le Musée de la danse et le LG Art Center de Séoul. Le Théâtre de la Ville leur propose alors une résidence de création. Le Sacre se joue ensuite au Regard du Cygne, au Sel (Sèvres), à Main d’Œuvres, au Point Ephémère, au Théâtre de la Cité Internationale dans le cadre du Festival Horizons Nécessaires, dans divers espaces urbains à Paris et en Avignon, aux jardins du ruisseau pour le festival Danse sur les Rails dans la cours du Théâtre des Abbesses pour l’ouverture de la programmation du Théâtre de la Ville, à la Halle Papin, et au Théâtre Paul Eluard (scène conventionnée de Bezons) pour les chantiers mobiles Danse Dense.
Le collectif mène également régulièrement des ateliers pédagogiques corporels et vocaux autour du Sacre.

RIEN N'Y PARAÏT         Danse/Théâtre
 CHEF-D'OEUVRE INCONNU
d'après Balzac
Chef-d'oeuvre inconnu

Chef-d'oeuvre inconnu

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S’appuyant sur les textes théoriques de Gilles Deleuze, Yuval Noah Harari ou Michel Bernard, des récits littéraires de Virginia Woolf, Ken Kesey, Joël Baqué, ou encore des récoltes de témoignages, Rien n’y parait raconte l’histoire de quatre personnages en quête d’identité.
Quels sont les prismes qui les déterminent, les différencient ou les mettent en relation ?
Les membres du collectif les Occiputs exposent les fruits de leur recherche, et entament progressivement une transition vers leur expression artistique.
De l’idée à la danse, le spectacle expose le glissement progressif du concept à l’incarnation, du discursif au corporel.

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